Oradour sur Glane, consternation est un faible mot

Tiré du profil facebook de Patrick Allemand du 22 août 2020.
Ce qui s’est passé est une injure pour les 642 villageois qui périrent en quelques heures par la cruauté de la division « Das Reich » qui était composée pour un tiers d’Alsaciens et de nazis venus de l’est.
Ces hommes ont fait reculer, ce jour-là, les frontières de l’abomination en exécutant des civils.
Il faut être allé sur place pour comprendre la violence de ce qui s’est passé. Le feu a tout figé. Les vélos multiples n’iront plus nulle part, les machines à coudre ne feront plus d’ourlet, plus aucune cuisine ne laissera échapper senteurs ou saveurs, c’est le chaos.
Comment les révisionnistes peuvent-ils oser nier l’indicible ?
Honte à ceux qui ont fait cela. J’espère qu’ils seront retrouvés et lourdement condamnés.
Robert Hebras, le dernier des survivants, âgé aujourd’hui de 95 ans ne méritait pas de voir une telle ignominie.